Sommeil paradoxal : ces neurones qui nous paralysent
Lors du sommeil paradoxal, le cerveau inhibe le système moteur, ce qui rend le dormeur complètement immobile.
Des chercheurs CNRS travaillant au Centre de recherche en  neurosciences de Lyon (CNRS/Université Claude Bernard Lyon  1/Inserm/Université Jean Monnet) ont identifié une population de  neurones responsables de cette paralysie transitoire des muscles. Le  modèle animal créé permettra de mieux comprendre l’origine de certains  troubles du sommeil paradoxal, en particulier la maladie qui empêche  cette paralysie corporelle. Il sera également d’une grande aide pour  étudier la maladie de Parkinson, les deux pathologies étant liées. Ces  travaux sont publiés le 12 décembre 2016 sur le site de la revue Brain.
- DatesParu le 13 décembre 2016, Mis à jour le 20 décembre 2016
 - TypeCommuniqué de presse
 


					    
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